POURQUOI NOUS PRÉOCCUPONS-NOUS DES OISEAUX ?
Parce qu’ils sont la voix de la nature et ont besoin de notre aide.
Avec votre soutien nous pouvons, grâce à nos connaissances, nos compétences, notre compassion et notre bienveillance, leur offrir cette aide.
Novembre 2018
Vers qui vous tournez-vous quand vous trouvez un oiseau blessé ? Le Nichoir probablement. Nous sommes là pour vous aider à chaque fois que vous trouvez un oiseau en détresse.
Lorsque vous prenez la peine de nous appeler et d’apporter un oiseau au centre, notre équipe de biologistes de la faune, d’étudiants, de stagiaires et de bénévoles n’a qu’un objectif, celui d’offrir des conseils utiles et des soins professionnels.
À chaque automne, nous invitons des gens de cœur tels que vous à manifester leur appui au travail du Nichoir.
Une bernache du Canada couvait ses œufs tout en étant blessée. Elle avait un hameçon et une ligne de pêche pris dans son cou. À un moment où son compagnon était proche, la bernache a été capturée et apportée au Nichoir. Les vétérinaires de l’hôpital vétérinaire de Pierrefonds sont parvenus à extraire ce matériel de pêche et, après une période de convalescence au Nichoir, la bernache a pu retrouver son nid et son compagnon.
Et, trois semaines plus tard…
Début juin, un grand corbeau juvénile a été admis pour des soins après avoir été frappé par un train. Il souffrait d’une blessure grave à l’aile. Peu de temps après, un second corbeau juvénile a également été admis. Il leur a fallu plusieurs semaines pour se remettre de leurs blessures. Finalement, ils ont été relâchés ensemble en septembre.
Attaqué par un chat, un dindon sauvage âgé d’un jour avait une patte très abîmée. À l’admission, nous avons craint que ces dommages à la patte ne soient permanents. Mais, après une semaine de soins intensifs, le jeune dindon a été capable et de se tenir sur ses pattes et de courir. Un mois plus tard, il a été relâché dans une famille adoptive de dindons sauvages.
Ce ne sont que trois histoires sur environ 2 000 que nous aurions pu vous raconter cette année.
Le saviez-vous ?
- Plus de 90 % de notre budget provient de dons individuels et d’activités de collecte de fonds.
- Plus de 100 espèces d’oiseaux différentes sont apportées chaque année au Nichoir.
- Cette année, nos biologistes auront répondu à plus de 12 000 courriels et appels téléphoniques.
- L’année dernière, 165 bénévoles ont donné plus de 7 275 heures afin de nous aider à soigner les oiseaux.
- Presque toutes les admissions résultent malheureusement des activités humaines.
Non seulement nous sommes là 364 jours par an pour répondre à vos demandes d’information et admettre des oiseaux à soigner, mais nous investissons aussi nos ressources dans l’éducation.
L’éducation est fondamentale pour la conservation des populations d’oiseaux et de leurs habitats. Au Nichoir, nous nous sommes servis de nos connaissances exceptionnelles de l’impact des activités humaines sur les oiseaux sauvages pour mettre au point et donner trois programmes éducatifs interactifs pour enfants : Les adaptations des oiseaux à leurs habitats : du sur-mesure, Enquêtes aviaires et, pour les très jeunes enfants, Raconte-moi un oiseau.
Notre objectif est d’amener les enfants à comprendre les oiseaux sauvages, à s’y intéresser et à vouloir les conserver.
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Votre don permettra que nos programmes éducatifs très ciblés soient accessibles à un plus grand nombre de jeunes Québécois — c’est un investissement pour l’avenir de nos oiseaux.
Vous faites partie de l’importante communauté qui aide Le Nichoir à concrétiser sa vocation de conservation des oiseaux locaux. Aujourd’hui et demain.
Nous vous remercions de votre confiance et de votre don à l’occasion de cette campagne.
Cordialement,
Weiyi Liu, Jo-Annie Gagnon, Amanda Smith et l’équipe au Le Nichoir
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